plan d'évasion?

Narwen comme à son habitude faisait le ménage, ne sachant pas trop quoi faire d'autre. Elle avait presque fait toute les pièces, maintenant rendu à nettoyer la salle à manger. La personne qui se disait être son maître était sorti avec sa soeur dans les allentours du jardin. Après avoir fait tout les recoin de la salle, elle prit place sur le rebord d'une fenêtre, les bras accoter sur le rebord regardant le ciel perdu dans ses penser. «Il faut que je sort d'ici, il y a trop longtemps que je suis enfermer entre les murs que cette baraque.» Elle soupira, puis que ne fut-il pas sa surprise lorsque le son d'un cri de dragon se fit entendre. Les yeux écarquiller, elle fit volte face, dos à la fenêtre, elle écouta le son de sa respiration. Dans un mumur, sa voix résonna dans ses oreilles.

- Je dois vraiment quitter ces lieux.

Elle entendit que son souffle se soit calmé. Elle se mit à penser à un plan pour partir. Cela faisait 7ans, qu'elle servait cette famille sans pitier et ce fut 7 ans de trop. Des plan défillais dans sa tête, plusieurs avait échouer, par la faute de...

- Eiji, ce salopard.

Plus elle cherchais, moins ses plan lui parraissait bon à exécuter. Un second cris de dragon arriva aux oreilles de Narwen. Son dos fut parcourrue d'un frisson. Elle soupira de nouveau puis s'affessa sur une chaise. Elle se mit à sangloter, cachant son visage dans ses mains. Es-ce qu'un jour elle pourra quitter cette enfer? Des pas se fit entendre, elle releva la tête, essuya ses larmes et se leva. Deux personne firent leur entré, le garçon se dirigea vers elle.

Eiji avait accéléré le pas rentrant en direction du manoir, suivit de très près par sa sœur. Celle-ci posait de nombreuses questions. Questions auxquelles Eiji ne prenait pas la peine de répondre. Comment ces personnes avaient elles traversé le périmètre de sécurité, Eiji avait pourtant mit de nombreux sorts en place. Mais cela ne paraissait pas encore assez… suffisant.
Arrivé au Manoir. Ils avaient traversé le Hall sans problème, mais le jeune homme cherchait quelqu’un en particulier. Où était elle !!! Quand il ne voulait pas la croiser, il tombait dessus et maintenant qu’il voulait la trouver elle se planquait !!!
Ou peut être était elle encore entrain de faire de tentative de fuite…
Une fois arrivée dans la salle à manger, en ayant ouvert la porte brutalement, son regard se posa sur cette fille... Narwen…
C’était sûrement la personne qu’il détestait le plus dans ce monde, et il savait que cette haine était réciproque… depuis tout petit c’était comme ça. Et pourtant ils avaient grandis sous le même toit. Mais son père, de son vivant ne cessait de lui répéter combien il était fière d’avoir fait son acquisition, t’elle un objet, depuis Eiji ne l’avait considéré que comme telle.

- Te voilà toi ! Dit il d’un air dédaigneux ! Occupe toi de ma sœur.
- Eiji souffla Kamelia, tu ne vois pas.

Eiji observa sa sœur passait devant lui, celle-ci s’avança jusqu’à devant la jeune Narwen et pris un voix douce. Elle avait bien remarqué les traces d’eau salée sur le visage de sa servante.

- Pourquoi pleures tu ?
- Kamelia ! rappela à l’ordre Eiji
- Tu es triste ?
- KAMELIA !!!

La jeune fille se retourna et regarda son frère.

- Sors lui ordonna t’il.
- Mais ?
- Tu me ferais me répéter ?

Vu le regard et la voix du jeune homme, elle n’osa répondre quoi que ce soit et sortie rapidement, avant tout elle regarda une dernière fois Narwen et lui adressa un sourire qui se voulait encourageant.
Lorsque la porte grinçante se referma derrière sa sœur, Eiji croisa les bras et toisa du regard la jeune fille d’un an plus jeune que lui.

- Alors on essaye encore de s’échapper et ça ne marche pas ? demanda Eiji avec un sourire moqueur.

Narwen regarda le garçon d’un an son aîné s’approcher d’elle. Elle avait retrouvé son visage froid et sans émotion, même si Kamelia avait remarquer qu’elle avait pleuré. Toute deux s’entendait bien, mais elles vivaient dans un monde différent l’un de l’autre. Narwen regarda la petite sortir de la pièce, refermant la porte dans un grincement sonore. Elle affronta avec défi le regard d’Eiji.

- Alors on essaye encore de s’échapper et ça ne marche pas ?

Elle préféra ne rien dire. Sons regard lunaire soutenait celui d’Eiji, jamais elle ne perdrait la face devant lui. JAMAIS. D’un pas silencieux elle s’approcha de lui, ses cheveux blond platine suivait le mouvement de ses pas, vaguant avec le vent inconnu. Arrivé près de lui, sa bouche s’ouvra de quelque centimètre à peine. Son visage dégageait une sensualité hors paire, son peuple faisait parti des plus belle femmes qui se trouvait dans le monde fantastique. Elles avaient le don d’utiliser cette beauté pour subjuguer les hommes, pour ensuite les faire périr avec leur pointe de flèche. Cependant, Narwen ne savait pas trop utiliser cette méthode, néant jamais vraiment vécu avec les siennes. Ce coté d’elle était plutôt naïf. Son charme ressortais avec les années... Toujours en regardant Eiji, ses lèvres se mirent à articuler.

- Si tu me déteste tant que cela, pourquoi ne te débarrasses-tu pas de moi qui ne te sert à rien? Pourquoi ne pas me tuer, toi qui en à la force? Pourquoi me perturbé, quand tu sais tout aussi bien que moi que nous nous détestons? Si tu me laisse en vie simplement à cause de ta soeur, tu as tord, elle peut très bien devenir quelqu'un comme toi et là moi je serai quoi? Un simple objet de décoration? Ta boniche?, elle se mit à hurler de toute ses forces. JAMAIS JE NE TE LAISSERAI ME TRAITER COMME TU LA FAIS DEPUIS TOUTE SES ANNÉES. JAMAIS TU M’ENTENDS, JAMAIS! TROUVE TOI QUELQU’UN D’AUTRE À FAIRE SOUFFRIR.

Elle cracha à ses pieds. Son regard affichait le défi, elle savait très bien que ce qu’elle venait de faire lui attirerait la colère d’Eiji. Rendu à ce point là, elle s’en fichait de mourir! Elle fit un pas de reculons, attendant sa réaction... Qui ne tarda pas à arrivé! Elle la sentait venir, elle approchait à grand pas, bien trop vite pour qu’on puisse la voir. Elle détourna la tête un peu, fermant les yeux étant sur qu’une gifle suivrait ses paroles. Il n’en fût guère. Sa joue était rester aussi blanche qu’il y avait quelque secondes. Quel punition allait-il lui infligé? La mort? La torture? Maintenant Narwen n’était pas trop sur de vouloir savoir la suite des évènements. Une pensé lui vint en tête, revoir sa famille! Elle senti un souffle chaud atteindre son visage, des mains étaient posé sur ses épaules. Que pouvait-il bien se passé. Elle r’ouvrit les yeux....

Eiji savait que sa question ne resterait pas sans réponse malgré toutes les tentatives ne Narwen, la jeune fille essayait toujours de faire style que ses sarcasmes ne l’atteignaient pas, elle se contrôler pour ne pas répondre mais toujours… toujours… elle craquait.
Bien qu’elle soutenait son regard, Eiji restait impassible, fixant son regard lunaire il pensait tout autre. Que faire de ce qu’elle pensait ou même ressentait ? Il ne croyait qu’à une chose pour l’instant, elle lui appartenait un point c’est tout !!!
Après la disparition de ses parents il avait longtemps pensé au cas de Narwen, mais ses tentatives de fuite l’avaient fait renoncer à l’idée de lui rendre un espoir de libération, si l’on peu appeler ça comme ça, torturer Narwen était comme un plaisir mais pourquoi ? Ca il ne le savait pas encore…
Il sorti de ses pensées lorsqu’il vit la jeune fille fort près de lui, il avait bien compris qu’elle commençait à s’éveiller, son père lui avait tellement compté sur son peuple…
Eiji ne pouvait nier… Narwen était sublime…

- Si tu me détestes tant que cela, pourquoi ne te débarrasses-tu pas de moi qui ne te sert à rien? Pourquoi ne pas me tuer, toi qui en à la force? Pourquoi me perturbé, quand tu sais tout aussi bien que moi que nous nous détestons? Si tu me laisse en vie simplement à cause de ta soeur, tu as tord, elle peut très bien devenir quelqu'un comme toi et là moi je serai quoi? Un simple objet de décoration? Ta boniche? JAMAIS JE NE TE LAISSERAI ME TRAITER COMME TU LA FAIS DEPUIS TOUTE SES ANNÉES. JAMAIS TU M’ENTENDS, JAMAIS! TROUVE TOI QUELQU’UN D’AUTRE À FAIRE SOUFFRIR.

Elle avait osé lui cracher aux pieds !!! Eiji était rongé entre l’envie de la tuer sur place ou bien tout autre…Le jeune homme céda à une autre envie… Elle avait fermé les yeux… Normal après cette réplique, elle ne pouvait s’attendre qu’à une réprimande ! Lentement Eiji s’avança vers la jeune fille, elle devait sentir qu’il avancé car plus il marchait plus elle reculait. Mais il arriva un moment où elle fut contre le mur. Eiji approcha son visage de Narwen, humant l’odeur de la peau de la demoiselle, il positionna ses mains sur les épaules de Narwen. Lorsqu’elle ouvrit les yeux, il s’empara de ses lèvres tout en la fixant.
Un baiser sans sentiment, juste rempli de rage !
Fixant toujours le regard de Narwen plus que troublée à la fin de ce baiser, Eiji sortit ses crocs mordant légèrement les lèvres de la jeune fille histoire de la marquer. Lorsque les yeux du jeune homme passèrent au rouge vif, éveillés par l’odeur du sang, Eiji pu lire un sentiment de peur dans le regard de Narwen.
Son instinct de vampire… un côté de sa personnalité qu’il tenait à ne pas trop montrer, ce n’était pas pour le cacher, tout le monde le savait mais… pour Kamelia…
D’un sourire moqueur, Eiji prononça des paroles suaves mais d’un ton froid :

- Ne t’avise, JAMAIS plus de me parler sur ce ton… reste à ta place…

Avant que la jeune fille ne retrouve tout son esprit il fit glisser ses mains des épaules de Narwen pour attraper ses poignets qu’il plaqua contre le mur. La jeune fille avait désormais pris la position d’une croix. A l’aide de sa langue il lécha les lèvres de Narwen puis sa bouche descendit sur le flanc du cou de la fille. Sans retenue, du bout de la langue, il se mit à lécher ce cou si tentant. Il la sentit frémir, afin de l’immobiliser complètement Eiji plaqua son corps contre celui de la jeune fille.
Eiji mordit dans la peau de la jeune fille sans ménagement, il l’entendit retenir un début de hurlement. Il la connaissait, Narwen était trop fière pour se laisser aller malgré la situation. Il prit un plaisir non dissimulé à boire son sang. Il ferma quelques instants les yeux, histoire de savourer ce moment. Il n’entendait presque plus rien, se consacrant au bruit du sang chaud affluant dans sa bouche. Sans crier gare, il retira ses crocs aussi vite qu’il ne les avait plantés, procurant ainsi une nouvelle source de douleur.
Le jeune homme se recula voyant la jeune fille glisser au sol, elle devait se sentir plus faible maintenant. Il doutait même sur sa capacité à se relever. Ou alors avec beaucoup de mal.

- Tu as bon goût, chère Narwen… L’idée de te tuer m’a effleuré l’esprit mais ce serait perdre… une servante bien râleuse.

De ses yeux rouges, Eiji fixa la jeune fille. D’un revers de sa main, il essuya les traces de sang sur son menton. Et d’une manière aguichante, il passa sa langue sur ses lèvres accentuant le passage sur se crocs assérés.

- Alors on ne répond plus ?

Jamais il ne l’avait puni de cette façon, préférant trouver à chaque fois de nouvelles punitions toutes plus surprenantes les unes que les autres.

Narwen avait rester surprise lorsqu’Eiji l’avait embrasser. Même elle figea complètement lorsqu’elle sentit des canines lui percé la chair de son cou. Elle tremblait quelque peu, c’était la première fois qu’il agissait comme sa. La lâchant pour mieux la regarder, Narwen elle s’écoula par terre. Son corps tremblait comme une feuille. Elle sentait même des larmes perler le coin de ses yeux. Son souffle est court et rude, elle avait de plus en plus du mal à respiré. Son torse se gonflait avec difficulté, donnant un mouvement au ralenti. Cependant, son regard ne quittait point celui d’Eiji. Pour la première fois elle avait peur de cette homme! Elle l’observait essuyer son propre sang qui se trouvait sur le menton de celui-ci. Elle fini par baisser les yeux, ne voulant plus regarder cet homme qui maintenant lui rappelait ces jours d’enfer entre les mains d’inconnu.

- Alors on ne répond plus ?

Elle reporta son regard rempli de haine vers lui. Puis se décidant, elle se leva pour lui faire face. Elle s’approcha, sentant ses jambes encore lourde et tremblante. Un liquide chaud coulait le long de son cou. Arrivé à la hauteur d’Eiji, elle s’inclina.

- Je n’ai rien de plus à ajouter.

Puis tout en se redressant elle porta son regard vers lui. Il la regardait avec un regard noir, que Narwen n’aimait guère. Accompagné d’un soupir, elle déchira une languette de son tablier et se fit un bandage pour caché son cou. Enfin, elle fit un pas vers la sorti, bien sure sans porté aucun regard vers le garçon. Elle passa la porte et stoppa devant la petite Kamilia, qui la regardait. Son sourire se forma sur le visage bleime de la servante. Elle tourna et s’enfuit à toute jambe vers l’escalier qui menait au chambre. Des gouttes d’eau volait dans l’air.

Anju avait quitter la demeure du petit roi et avait pris la direction du manoir Kane. Elle arriva sur les lieux, comme toujours l'endroit était sombre et lugubre. Elle afficha un sourire sans émotion, juste un sourire dure et sadicque. Elle franchit la porte d'entré regardant devant elle. Les servantes semblaient affolées, Anju passa entre elle comme si elle n'était que des simple fantômes hérant sans vie. Toute celle qui la regardait restèrent surprise, lorsqu'elle s'arrêta hummant l'air, elle rabatu son capuchon sur ses épaules. Montrant ainsi son visage à tous, qu'elle servante partir presque en courant, d'autre retient un cri et quelques'une se cachèrent. La vampire ne leur porta aucune attention, elle avait trouvé la personne qu'elle cherchait. Sans plus tarder, elle se dirigea vers la salle à manger. Arrivé près de celle-ci, ses yeux rouâtre se posèrent sur la jeune soeur qui prit la direction des escaliers. Cependant, ce n'était pas elle qu'elle était venu voir, mais lui! Sa main se déposa sur la poigner de la porte, elle l'enclancha et un bruit sonnore se fit entendre. Aussitôt passé, elle la referma derrière elle. Quant à lui, il était bien là, se tant seul dans la pièce qui avait une douce odeur de sang... un sang fraîchement couler, qui s'échappait d'une jeune fille. Anju passa sa langue sur ses lèvres.

- Et bien on dirait que j'ai manquer le repas!

Sa salive se fit plus épaise, l'odeur que la pièce dégageait l'attirait. Elle prit place sur la table de chêne, croisant sa jambe gauche sur sa droite. Puis elle attendit que le jeune homme se tourne vers elle. La bouche d'Anju qui devenait pâteuse à cause de la salive, laissa place au un rictus habituelle. Elle indiqua au garçon de s'approcher d'elle en un simple mouvement de l'index. Lorsqu'il fut près d'elle, elle l'observa et remarqua du sang qui se trouvait encore sur son menton. Sa main droite aggrippa la machoir d'Eiji. Elle approcha son visage et d'un mouvement de langue, elle lécha cette trace qui restait là. Après avoir goutter, ce nectar suave, elle relâcha le garçon.

- Il y a un moment que je n'étais pas venu te voir. Tu semble bien aller et je remarque que tu te nourris bien. Mais en contre parti tu n'as pas l'air heureux de me voir, n'ai-je pas raison?

Il y avait un moment qu'elle n'avait pas été le voir. Et maintenant 6 ans s'étaient écouler depuis qu'elle l'avait transformé en vampire. Elle venait le voir une fois par mois, si le temps lui était donner. Cette fois sa faisait un bon 5 mois qu'elle n'avait pas mit les pieds dans ce manoir. Elle le regarda sans un mot, intrigué par sa réponse.

Eiji léchant toujours sa main recouvert du sang de sa servante, la regardait, son regard était rempli de haine. Comme à son habitude il resta impassible.
Elle sortit sans ajouter un mot… Rester à espérer qu’elle retienne la leçon… Peut être aurait il dut trouver une autre punition…
De brefs coups furent tapés à la porte, mais il ne répondit pas toujours plongé dans ses pulsions. Cette odeur de sang nacré planait dans l’air, elle en était presque agréable. Ses sens éveillés, il ne perdit pas une seconde à remarquer que la porte aller s’ouvrir et cette odeur n’était autre que Kamelia.

- Ne rentre surtout pas Kamelia… je ne veux pas que…

La porte se referma brusquement, elle avait comprit… C’était une des choses positives, sa sœur était très perspicace. Et c’est pourquoi afin de la protéger du mieux qu’il le pouvait il ne pourrait… ou plutôt ne voulais pas qu’elle le voie comme ça.
Une nouvelle fois la porte s’ouvrit, mais elle laissa rentrer une personne. Eiji devait se reprendre et immédiatement.

- Et bien on dirait que j'ai manqué le repas!

Il l’entendit prendre place à la table, il se força donc à se retourner. Anju comme il s’en doutait.
De ses yeux rouge, il la toisa du regard, ses sens ne pouvaient ce calmer du à la présence du sang et apparemment il n’était pas le seul vu le visage d’Anju. Lorsqu’elle lui fit signe de s’avançait, il exécuta à contre cœur certe mais il lui devait beaucoup.
Elle agrippa la mâchoire d'Eiji et lécha les dernières traces de sang qui y restait.

- Il y a un moment que je n'étais pas venu te voir. Tu sembles bien aller et je remarque que tu te nourris bien. Mais en contre parti tu n'as pas l'air heureux de me voir, n'ai-je pas raison?

- Effectivement. Mais ce repas ne faisait que commencer. Et il n’est qu’à moi. JE déteste partager. On ne peut rien te cacher… Ta présence ne me réjouis pas… je suis occupé ces derniers temps, et il faut dire que j’avais compter sur le fait

Tout dans l’apparence de cette femme signifiait qu’il fallait sans méfier. Néanmoins il a 6 ans de cela c’est bien Eiji qui a été la trouver… afin de devenir un vampire. Une question qu’il n’avait jamais posée sortit de sa bouche…

- Pourquoi viens tu toujours ?

Anju ne cacha aucunement son sourire amuser. La question qu'elle sattendait sorti enfin de sa bouche, pour la première fois depuis six ans. Elle le regarda droit dans les yeux et sa bouche s'entrouva laissant voir ses longues canines.

- Pourquoi je viens toujours, quel questions stupide et tu en sais très bien la réponse.

Elle se donna un temps de pause, comme si elle espérait qu'il trouve lui même la réponse. Cependant, elle ne lui donna pas l'occasion de répondre.

- Si je disais que c'était parce que je t'aime? Tu ne me croirais sûrement pas et tu as tout à fait raison de ne pas me croire, car ce n'est aucunement là raison. Je ne viens que surveiller ce qui m'apartien de droit. Tout les deux nous sommes lier et sa tu le sais mieux que n'importe qui, mon sang coule dans le tien. Deplus je t'ai donner un privilège, en buvant de mon sang, moi une sang pure qui offre son sang à un simple mortel et bien qui l'aurais cru.

Sur cette fin, elle dénuda son poignet gauche qui était caché par sa cape et le tendit vers le garçon. On pouvait voir ses veines resortirent et on aurait pu même voir le sang circuler si on aurait porter une regard plus attentif.

Les répliques de la vampire plongèrent Eiji 6 ans en arrière, juste avant qu’elle ne le morde, elle lui avait dit cette phrase « Tu seras à moi ! » A cette époque jeune et insouciant, il ne s’était pas attardé sur cette phrase. A vrai dire il pensait ne jamais la revoir alors à quoi bon…
Une des erreurs les plus flagrante de sa vie pour ce soi disant génie…
C’est vrai quelles avaient été les raisons pour lesquelles cette femme avait accepté de le mordre…
Le jeune mage écouta son discours, il se recula légèrement lorsqu’il vit Anju dénuder son poignet gauche et le tender vers lui. Les veines ressortaient

- Ne me fais pas rire.

Eiji n’avait de cesse de regarder ce poignet si alléchant. Il avait beau protesté, il savait qu’elle avait parfaitement raison… C’est pourquoi il vit parfaitement Anju utiliser une de ses griffes pour s’ouvrir superficiellement le poignet. Juste assez pour que les sens du mage ne s’excitent d’avantage.

- Arrête ça !

Eiji se tenait son œil droit, il voulait se contrôler mais l’appel du sang était trop fort. Jamais il n'avait été dans une telle position de faiblesse.. jamais... C’est le souffle coupé qu’il se dirigea vers cette femme. Oui il voulait ce sang… C’est pourquoi il attrapa de ses deux mains le poignet tendu, il le porta à sa bouche et y planta ses crocs très violemment.
Jamais il ne lui ferait le plaisir d’être clément…
Ses crocs entends d’un coup dans la chair tendue, un filet de sang jailli, en projetant légèrement sur son propre visage.

Anju regarda Eiji empoigné son poignet et déposer ses dents dans sa chair. Une excitation se créa lorsqu'elle senti son sang s'écouler pour au final resortir pour couler le long de son bras dénuder. Ses yeux rouge se protèrent vers le garçon, elle enfonça ses propre crocs dans sa lèvre inférieur, laissant s'écouler un peu de sang. Peu de temps après, elle commença à se sentir faible. Eiji avait été trop loin et avait pris bien plus que ce qui lui été néssaire. Sa tête commença à tournée, d'un revers de main elle propulsa Eiji à l'autre bout de la pièce. Le garçon produit un bruit sour quand son corps se percuta contre le mur. Anju le regarda montrant les crocs, elle approcha son poignet de sa bouche et lécha le sang qui continuait de sécouler. Elle descendit de la table et pris la direction de la sorti. Avant d'ouvrir la porte, elle porta un dernier regard au jeune vampire.

- Tu as été trop loin cette fois. Attend toi à me revoir bientôt et je te conseil de surveillé ta chère soeur.

Puis elle ouvrit la porte et parti le laissant là au sol. Dans le hall, elle passa la porte principale et se dirigea vers le jardin.

S’écrasant avec violente contre le mur, Eiji mit un sacré moment à remettre de l’ordre dans son esprit.
Il était bien conscient d’avoir ingurgité, plus de sang qu’il n’en avait besoin, mais malgré les efforts qu’il avait pour s’arrêter il n’avait pas pu. Ce sang… était tout simplement délicieuse.
Dieux qu’il se détestait pour penser cela. Mais jamais il ne regretterait ce qu’il était devenu.
Mais Anju avait fait une chose, une seule chose, qui l’avait mis hors de lui juste avant qu’elle ne quitte la pièce. « Je te conseil de surveillé ta chère soeur. »
Sa soif de sang se calmant, ses yeux reprirent leurs couleur gris et ses crocs se rentrèrent. Décidément elle savait comment le sortir de ses gonds.
Sortant à son tour de la salle à manger, il ordonna à l’un des premiers servant rencontrait d’aller nettoyer tout se sang, sa sœur ne devait pas voir ça. Le dit servant parut hésitant alors d’une voix froide Eiji ajouta.

- Arrête de trembler. Ce n’est que du sans et je n’ai jamais tué l’un de vous alors maintenant va et fait.
- Bien Maître Kane

Décidément il fallait tout leur dire.